Comme chaque année, le 8 mars met à l’honneur les femmes du monde entier mais aussi et surtout, leurs droits. Moins étendus que les droits humains universels, ils soulignent l’existence d’inégalités historiques entre les femmes et les hommes.
Mais de quoi parle-t-on exactement ? D’accéder à l’éducation, de voter et d’être élue, de travailler et de toucher un salaire juste et équivalent à celui d’un homme au même poste et avec les mêmes compétences, d’être considérée comme l’égale du mari et du père au sein de la famille, de maîtriser sa reproduction, de ne pas subir de violences sexuelles, de pouvoir entrer dans un contrat légal et de posséder une propriété, d’être libre de ses mouvements. Cela semble évident, et pourtant nous sommes encore bien loin du compte dans la plupart des sociétés et des cultures. Même dans les pays considérés comme les mieux placés dans ce domaine, des inégalités perdurent. Par exemple en France, « à même emploi, même temps de travail, l’écart de salaire entre hommes et femmes est d’environ 9 % » d’après le journal Le Monde. Par ailleurs, à peine 30 % des dirigeants d’entreprises sont des femmes, or le taux de faillite d’une entreprise dirigée par une femme est de seulement 3,1 % contre 5 % pour les hommes.
Depuis la création de Caupenne & Co. en 1994, et à l’échelle de son entreprise, notre dirigeante Leylak de Caupenne met un point d’honneur à reconnaître l’engagement des femmes qui composent son équipe, à les valoriser et à les promouvoir pour leurs compétences, au même titre que les hommes.
A tout point de vue, il nous apparaît essentiel de considérer l’individu et non son genre.