Les documents médicaux ont une portée internationale : du vaccin français commercialisé partout en Europe, aux conférences américaines sur la découverte d’une nouvelle molécule, ces documents se doivent d’être compris par tous et donc traduits.
1) Qu’est-ce que la traduction médicale ?
La traduction médicale correspond à la traduction de documents médicaux bien sûr, mais plus généralement à l’ensemble des documents émanant du domaine de la santé (paramédical, biologique, pharmaceutique, etc.). Comme toute activité liée à la santé, la traduction médicale doit être précise : aucune approximation n’est permise sous peine d’engendrer de lourdes conséquences sur la santé d’autrui. C’est pourquoi elle requiert l’intervention de traducteurs hautement qualifiés et expérimentés.
Le principal enjeu de la traduction médicale est de savoir s’adapter à un public donné. Pour traduire un article rédigé par un professionnel de santé et destiné à des professionnels, le traducteur choisira un champ lexical technique, très spécialisé. En revanche, pour traduire un diagnostic rédigé par un médecin généraliste destiné à un patient, non habitué aux termes techniques médicaux, le traducteur aura recours à un champ lexical vulgarisé, destiné au grand public. Le traducteur médical doit donc avant tout savoir par qui et pour qui le texte qu’il va traduire a été rédigé. Il doit également faire preuve d’une grande connaissance de la terminologie médicale, qu’il aura assimilée lors d’une formation spécialisée dans le domaine par exemple.
2) Les points de vigilance interculturels dans la traduction médicale
Afin d’éviter les nombreux pièges multiculturels spécifiques à la traduction médicale, le traducteur-expert doit, notamment :
- Connaître autant que possible la culture des pays de ses langues de travail.
- Connaître les unités de mesure couramment utilisées dans chaque pays, car celles-ci peuvent varier. Par exemple en hématologie, les auteurs français auront plutôt tendance à utiliser les décilitres (dl), à l’inverse des auteurs anglophones qui utiliseront plutôt les millilitres (ml). Le traducteur doit donc veiller à adapter sa traduction.
- Se tenir informé des nouvelles technologies. Le monde de la santé évolue constamment, le traducteur médical doit par conséquent procéder à une veille régulière afin de mieux appréhender les avancés du secteur : qui dit nouvelles technologies dit également nouvelle terminologie.
- Connaître les différentes nomenclatures et savoir quand les utiliser (connaître par exemple la Classification Internationale des Maladies, les Dénominations Communes Internationales des molécules pharmaceutiques, etc.). En fonction de l’auteur et du public visé, une nomenclature sera à privilégier plutôt qu’une autre.
- De nombreux termes médicaux ayant une racine latine, avoir des connaissances en latin est aussi un atout.
3) Les types de documents médicaux traduits par Caupenne & Co.
Notre agence de traduction médicale traduit de nombreux supports dont notamment des articles scientifiques, des résultats d’études, des rapports d’essais cliniques, des fiches techniques de matériel médical, des bilans de conférence, des protocoles ou encore des modes d’emploi de dispositifs médicaux.
Grâce à un réseau de traducteurs spécialisés dans le domaine médical, Caupenne & Co. est en mesure de vous accompagner dans vos projets de traduction médicale.