Fidèles à nos valeurs, nous construisons une relation de confiance sur le long terme avec nos traducteurs, interprètes et infographistes, pour assurer un haut niveau de qualité à nos clients.
Dans le contexte actuel très incertain, nous avons décidé de partager avec vous les interviews de ces fournisseurs qui nous accompagnent au quotidien et sont de véritables piliers pour notre société.
Cette semaine, découvrez le premier interview de cette série :
- Depuis quand collaborez-vous avec Caupenne & Co. ?
Mon premier projet pour Caupenne & Co. remonte à 2011, ce qui ne me rajeunit pas !
- Quelles sont vos langues de travail ?
Je traduis du français vers l’anglais. Il fut un temps où je parlais aussi l’allemand, mais il ne m’en reste pas assez aujourd’hui après des années de négligence pour l’utiliser professionnellement.
- Quels sont vos domaines de spécialité ?
Mes études universitaires ont porté sur l’informatique et l’intelligence artificielle, et j’ai aussi été musicien dans une vie antérieure, donc a priori l’informatique et la musique sont mes domaines de spécialité, mais à vrai dire je travaille dans tous les domaines. Je suis attiré par le défi de devoir investiguer et apprendre un sujet pour bien traduire un concept. J’ai quand même une préférence pour les sujets culturels et artistiques.
- Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir ce métier ?
J’ai eu ma première fille pendant ma vie de musicien, et j’ai beaucoup apprécié le temps que j’ai pu passer à la maison à la regarder grandir quand elle était petite. Quand la deuxième est arrivée, étant obligé de chercher une occupation plus rentable, j’ai voulu me diriger vers quelque chose qui pouvait aussi m’offrir cette liberté, et qui ne me condamnerait pas à partir toute la journée travailler loin de mes enfants. Mon intérêt pour les langues et ma connaissance du français, développée pendant trois ans de vie en Lorraine, ont rendu ce choix une évidence.
- Depuis quand l’exercez-vous ?
J’ai commencé à faire mes premiers pas dans la traduction en 1999 en contactant quelques agences, et c’est en 2000 que j’ai réussi à rassembler suffisamment de travail pour en faire mon métier à plein temps.
- Quelle formation avez-vous suivie ?
J’ai une licence en informatique et intelligence artificielle. Je n’ai jamais étudié la traduction, ni même les langues au-delà de l’école, mais en démarrant ma carrière j’ai quand même passé un diplôme en français avec l’Institut de Linguistes à Londres pour me prouver que j’avais un certain niveau. Au début, je me suis fié à mes instincts linguistiques et ma passion pour la lecture, et avec le temps je crois que j’ai pu affiner mon approche vis-à-vis de la traduction jusqu’au point où je suis suffisamment confiant dans mon travail.
- Si vous aviez une baguette magique, que changeriez-vous dans votre secteur d’activité ?
Dans un monde idéal, tous les documents à traduire seraient bien écrits, bien structurés, bien argumentés et bien formatés, avec quelque chose d’important, d’intéressant, d’utile et de sensé à communiquer, et planifiés bien à l’avance pour laisser suffisamment de temps pour un travail consciencieux. On peut toujours rêver !
- Recommanderiez-vous Caupenne & Co. à vos confrères/consœurs ?
Sans hésitation, et d’ailleurs je l’ai souvent fait !
- Un dernier mot pour clore cette interview ?
J’aimerais remercier les équipes de Caupenne & Co. pour toutes ces années de collaboration, pour leur fidélité, leur sérieux, leur professionnalisme et pour la relation de confiance que nous avons construite au fil des années.
Merci à Kerry S. pour son témoignage et à toutes nos équipes pour leur travail.